Le premier épisode de Dragon Ball Daima m’a offert un mélange savamment dosé de nostalgie et de fraîcheur. Dès le début, l’atmosphère de l’épisode rappelle les premiers temps de la saga Dragon Ball, avec un Goku rapetissé, cette fois par une conspiration mystérieuse, qui m’a immédiatement ramené à l’époque où il parcourait le monde en tant qu’enfant insouciant.
Le choix de rendre Goku et d’autres personnages plus petits fonctionne vraiment bien, ce qui m’a agréablement surpris. Ça donne à l’histoire un côté plus léger, presque comme une aventure innocente, un peu comme dans la toute première série Dragon Ball. Ce retour aux sources est, selon moi, une super idée après les arcs plus sérieux qu’on a eus dans Dragon Ball Super. Cela dit, je comprends que tout le monde ne sera pas fan de cet aspect plus enfantin. Certains pourraient s’attendre à des combats beaucoup plus intenses et des transformations à couper le souffle. Ici, on a un Goku plus vulnérable qui doit de nouveau faire preuve d’astuce pour s’en sortir, et je trouve ça rafraîchissant.
Visuellement, l’épisode est magnifique. Les scènes sont dynamiques et les couleurs, ainsi que les textures, sont incroyablement bien travaillées. Les décors du Royaume des Démons sont particulièrement réussis. Il y a une ambiance presque féerique qui apporte quelque chose de nouveau à l’univers de Dragon Ball. On sent qu’il y a plein de mystères à découvrir dans ce monde encore peu exploré, et ça m’a vraiment donné envie d’en savoir plus.
Côté personnages, on est tout de suite plongés dans cet univers démoniaque avec l’arrivée de Gomah, le nouveau roi du Royaume des Démons après la mort de Dâbra. Il semble vraiment puissant et pourrait être un adversaire de taille pour Goku. Il y a aussi Degesu, un Shinjin lié à Kaiô Shin de l’Est, ce qui amène une dimension plus personnelle au conflit. Sa sœur, Dr. Arinsu, est une antagoniste intéressante qui mélange magie et technologie pour manipuler les événements. J’ai été assez surpris de voir autant de personnages liés à la famille de Shin, et je suis curieux de voir comment ils interagiront avec les héros au fil de la série.
Pour finir, ce premier épisode de Dragon Ball Daima a vraiment réussi à retrouver l’esprit des débuts de la saga tout en nous plongeant dans un nouvel univers avec plein de nouveaux défis. Personnellement, j’ai adoré ce début, même si je sais que certains pourraient regretter l’absence des gros combats épiques. Mais si vous êtes fan, comme moi, des premières aventures de Goku, vous allez sûrement apprécier ce retour aux sources. Hâte de voir où tout ça va nous mener !
Dragon Ball Daima est disponible en simulcast sur ADN et Crunchyroll et en différé à partir du 18 octobre sur Netflix.
Dragon Ball Daima
Résumé
Le premier épisode de Dragon Ball Daima m’a offert un mélange savamment dosé de nostalgie et de fraîcheur. Dès le début, l’atmosphère de l’épisode rappelle les premiers temps de la saga Dragon Ball, avec un Goku rapetissé, cette fois par une conspiration mystérieuse, qui m’a immédiatement ramené à l’époque où il parcourait le monde en tant qu’enfant insouciant.